Principe ergodique et risque vaccinal

Je vous propose d’examiner dans ce post la question du risque vaccinal à travers le prisme du principe ergodique. Ce principe dit que dans certains processus aléatoires, la moyenne statistique est égale à la moyenne temporelle.
En traduisant, cela signifie qu’en faisant des tests sur un grand nombre de personnes volontaires durant un essai clinique, on peut estimer le risque de développer un effet indésirable dans le temps.
Invoquer le principe ergodique c’est dire que l’on sait ce qui peut arriver à quelqu’un dans le futur d’un point de vue probabiliste à partir d’un gros échantillon de participants testés à un instant présent.


Le bien, le mal et les équations de Maxwell

En ces temps troublés par 2 ans de pandémie et la résurgence de conflits, j’ai l’impression que l’histoire se répète et je me demande si le comportement humain du point de vue cognitif et émotionnel et par extension de nos sociétés ne serait pas régi par des lois physiques d’une façon bien plus rationnelle et prévisible qu’on pourrait le croire. Je dois remercier ici mon dernier doctorant qui m’a obligé à sortir de mon domaine d’expertise en acoustique et m’intéresser un peu au magnétisme, en particulier aux relations qui existent entre le champ électrique et le champ magnétique, le fait que l’un puisse être engendré par l’autre et les relations temporelles et géométriques qui les relient. Il est assez extraordinaire quand on y regarde de plus près que ces deux grandeurs soient reliées de la sorte, à tel point, que je vous propose de revisiter la notion de bien et de mal en prenant comme modèle descriptif les équations de Maxwell en électromagnétisme.


Objectif 280! Une technologie bien conçue peut dépolluer massivement


Les traces modernes de l’évolution

Depuis qu’il est conscient de son existence, l’homme cherche à savoir d’où il vient, s’il a été créé par un Dieu, ou bien si comme Darwin l’affirmait, il n’était qu’un aboutissement, certes sélectif, mais hasardeux de formes vivantes, adaptées à la vie sur terre.
Que les spécialistes en histoire naturelle me pardonnent, les lignes qui suivent sont plus des questions que des réponses. Simplement l’acousticien que je suis a un jour été interpellé par la puissance suggestive des principes du retournement temporel et d’ergodicité que l’on exploite souvent dans mon métier et me suis amusé à l’appliquer à la théorie de l’évolution pour voir ce que je pouvais en déduire sur certaines caractéristiques de nos sociétés modernes.


Proposition pour la mesure de l’efficacité vaccinale moyenne des vaccins

Voici une méthode simple que je propose comme exercice pour mesurer l’efficacité vaccinale moyenne immunitaire d’un vaccin et son intérêt dans la prévention des vagues épidémiques et de la vaccination de la population. Elle constitue un moyen pratique d’affiner les données du fabricant.
Elle consiste à mesurer la répartition de vaccinés/non vaccinés dans les unités de soins intensifs des hôpitaux. Je ne fais pas d’hypothèses sur l’exactitude des données fournies par le fabricant. Il nous suffit de contrôler a posteriori l’effet du vaccin sur l’épidémie. Il nous faut pour cela qu’une partie de la population reste non-vaccinée pour pouvoir comparer.


Formule de l’efficacité vaccinale

Pour compléter mon post précédent, j’ai établi la formule de l’efficacité vaccinale. Je suppose a priori que les non-vaccinés ne sont pas traités précocement, sinon cela diminuerait artificiellement l’efficacité du vaccin. Mais a contrario et si l’on s’intéresse juste à la santé, il serait intéressant de laisser les non-vaccinés être traités librement, la formule indiquerait alors qui est vraiment gagnant, le vaccin ou les traitements précoces, peu importe la méthode. L’équation ne fait pas de politique! On peut vérifier ainsi que l’efficacité vaccinale contre les cas graves est d’autant meilleure que R est petit, c’est à dire lorsqu’il y a beaucoup plus de non-vaccinés que de vaccinés en unités de soins intensifs (USI) et que le pourcentage de vaccinés Y tend vers 100%. On comprend aussi de cette simple formule que le passage à la troisième dose pourrait être décidé sur la base d’une baisse significative de la protection, par exemple lors du franchissement de l’efficacité moyenne sous la barre des 50%. Ce seuil est atteint lorsque le nombre de vaccinés en réanimation atteint 83% pour 17% de non vaccinés.


Existe-t-il en immunologie un système à effet mémoire à réponse exponentielle pour les bénéfices et les risques ?

Je vous invite aujourd’hui à réfléchir sur la question suivante que je me suis posée.
Un système immunitaire est-il un système à mémoire ? Sans doute que oui car sa réponse à une nouvelle infection dépend de sa réponse à l’infection précédente. C’est à dire que si l’on appelle “R” sa réponse à une infection, alors on pourrait exprimer mathématiquement et de façon simpliste l’effet mémoire par l’équation différentielle ci-dessus avec “t” la variable temporelle (qui caractérise les injections successives) et “a” le facteur de sensibilité qui varie d’une personne à l’autre.


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